
Agriculture et sécurité alimentairevise à promouvoir des systèmes plus productifs, durables et résistants agricoles qui mènent à l'amélioration de la sécurité alimentaire et des moyens de subsistance, y compris l'amélioration du bien-être des enfants résultats, en particulier la nutrition.
La progression constante des risques de catastrophe − notamment par l’exposition accrue des populations et des biens − et les enseignements tirés de catastrophes ou l'exposition à la violence passées concourent à nous faire prendre conscience de la nécessité d’un meilleur état de préparation à diverses formes d’intervention, sur tous les plans. L’expérience des catastrophes et la violence passées montre que la phase de relèvement et de reconstruction doit être planifiée en amont et qu’elle revêt une importance critique dans l’optique du «reconstruire mieux» et d’une résilience accrue des nations et des sociétés face aux catastrophes ou des actes de violence.
La gouvernance conditionne l’efficacité et l’efficience de la gestion des risques de catastrophe/violence sous tous les angles. Elle exige une vision claire et un travail de planification, d’orientation et de coordination entre tous les secteurs, et la participation de toutes les parties prenantes, selon que de besoin. Il est donc nécessaire de renforcer la gouvernance en matière de gestion des risques de catastrophe/violence.
Investir dans la prévention et la réduction des risques par des mesures structurelles et non structurelles revêt une importance essentielle pour ce qui est de renforcer la résilience économique, sociale et culturelle des personnes, des collectivités, des pays et de leurs biens, et de préserver l’environnement et l'environnement bâti. Ces mesures, qui ont un rapport coût-efficacité élevé, contribuent pour beaucoup à épargner des vies et à prévenir et atténuer les pertes de biens matériels. À cet effet, il faut continuer de cibler comme un tout les moteurs du développement que sont la santé, l’éducation, l’agriculture, l’eau, la gestion des écosystèmes, le logement, le patrimoine culturel, la conscientisation du grand public et les mécanismes financiers et de transfert des risques.
Il faut que les politiques et les pratiques de gestion des risques de catastrophe et la violence soient fondées sur la compréhension des risques dans toutes leurs dimensions, à savoir entre autres la vulnérabilité, les capacités et l’exposition des personnes et des biens, et les caractéristiques des aléas. Cela suppose que tous les États et toutes les parties prenantes portent leurs efforts sur un certain nombre de domaines d’action, comme la collecte, l’analyse et la diffusion de données et d’informations, la recherche, le développement et le partage de modèles de risque libres d’accès, ainsi que le contrôle et l’échange continu de pratiques et d’enseignements.
Pour les adolescents, les jeunes, les adultes, les dirigeants d’ONG ou d’une communauté
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Genre, protection de l’enfance, le handicap, le VIH / sida / santé et environnement.
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Et la réduction des risques de catastrophes: un guide pour le sujet de la RRC dans le contexte de l’éducation formelle.
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